Johann Roques nous emmène dans une réflexion profonde sur la signification des badges dans notre vie quotidienne. Il raconte comment, malgré son rôle de gardien, la dame de la sécurité ne lui a pas demandé de montrer son badge. Il y voit une reconnaissance mutuelle d’humanité, un signe que malgré les barrières technologiques, nous sommes toujours des êtres humains connectés.

Il nous rappelle un temps où les badges électroniques n’étaient pas nécessaires, où une main libre suffisait pour ouvrir une porte. Un temps où la curiosité était le seul guide à travers les couloirs d’un immeuble. Cette époque est-elle révolue ou pouvons-nous encore trouver des moments de connexion humaine malgré les badges et les systèmes de sécurité?

Joignez-vous à Johann alors qu’il explore ces thématiques dans l’épisode 27 de ‘Faut que je vous raconte’. Il y explore les vies anonymes et partage ses réflexions sur leur importance. Il vous invite à rester connectés pour plus de contenus à venir.

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Johann Roques

On l'a connu provocateur sur Oüi FM. On le retrouve confident sur France Bleu. Johann Roques, devenu entre-temps le producteur du podcast Heure Indue, est de nouveau à la radio : tous les soirs, en direct, de 21h à 23h pour une libre antenne dénommée Les mots du soir, où il reçoit les témoignages d'auditeurs...

1 commentaire

Isabelle · 1 août 2024 à 9h07

Bonjour Johann,

Dire que le badge est un symbole de sécurité, c’est dire que nous sommes en danger dans notre société. En réalité, la violence connaît une forte augmentation dans notre pays et dans d’autres pays d’Occident depuis quelques décennies. Vous nous rappelez aussi un temps où les badges électroniques n’étaient pas nécessaires, et où une main libre suffisait pour ouvrir une porte. Ce temps-là est révolu et je le regrette infiniment. À l’époque, nous étions libres dans une société calme qui nous guidait vers des valeurs de liberté et d’amour. Cela dit, je me refuse clairement d’écrire le, « c’était mieux avant. » Il est crucial en effet de suivre le rythme du temps présent et d’accepter les évolutions modernes. Nous devons en conséquence, continuer la route de la vie avec confiance.

Bien à vous,
Isabelle

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