Dans le dernier épisode de ‘Faut que je vous raconte’, Johann Roques nous emmène dans un voyage inattendu à travers l’histoire de sa machine à laver. Oui, vous avez bien lu, une machine à laver. Cela peut sembler banal, mais il y a quelque chose de profondément poétique dans l’idée de dire adieu à un objet du quotidien pour en accueillir un nouveau.
Johann compare le spectacle d’un tambour de machine en action à la féérie des eaux de Versailles. Cette analogie audacieuse nous pousse à reconsidérer la beauté qui se cache dans les gestes les plus simples de notre quotidien. En tant que société, nous sommes souvent trop pressés pour remarquer ces moments de grâce.
Mais au-delà de la poésie, ce changement de machine à laver soulève une question essentielle : comment gérons-nous la transition entre l’ancien et le nouveau dans nos vies ? Sommes-nous trop attachés au passé ou prêts à embrasser l’avenir, même dans les aspects les plus triviaux de notre existence ?
3 commentaires
Tillier · 16 septembre 2024 à 16h09
Bonjour Johann,
Votre aventure m’a fait vivre un retour en arrière, celui Du Lavoir dans la petite cour derrière chez nous, des lessiveuse qui bouillait sur la cuisinière à bois, et aussi de la grosse brouette qui chargeait de saut et de lessiveuse conduisait maman vers la mare ou elle rincer le linge les temps ont changé, et c’est une avancée que l’on peut estimer, Car ils étaient dur les lessives !
Isabelle · 16 septembre 2024 à 18h38
Bonsoir Johann,
Personnellement, je n’estime pas nécessaire de me focaliser sur le passé ou sur le futur. Je suis pleinement immergé dans le moment présent et cela m’apporte une grande satisfaction. Bien sûr, j’ai quelques idées de projets qui, avec le temps et les années m’encouragent à vivre d’une façon heureuse. Si la santé est bonne, tout va pour le mieux !
Bien à vous,
Isabelle
Marie · 27 octobre 2024 à 14h46
Coucou Johann,
Donc il existe vraiment des personnes qui n’ont pas le karma avec l’électroménager , alléluia !!
Je vous taquine , j’ai failli moi même mener au trépas ma propre machine à laver, tout ça pour une ceinture de peignoir mal attachée
La bougresse s’est introduite dans le filtre durant un cycle de lavage , bloquant la vidange en surchauffant le moteur
Ajoutez à cela un dépanneur aux abonnés absents ( merci les ponts de mai ) j’ai frôlé le chaos technique
Je remercierai jamais assez mon bricoleur de père ( même si j’ai eu droit au sermon de l’enfant totalement zinzin et irresponsable ) de m’avoir rappelé qu’un filtre, ça dispose d’une trappe et que de ce fait , ça se débouche hein…
La salle de bain et ma dignité se sont bien noyées au passage mais j’ai récupéré l’engin , en esquivant le contrat de confiance et le trail vers la laverie la plus proche…ouf ( j’ai investi dans des filets de lavage, histoire de me rassurer un peu )
Mais je comprends ce que vous éprouvez à travers cette histoire de lessive , un objet peu importe lequel , et je dirai encore plus ceux du quotidien , c’est sûrement étrange de dire cela, mais on s’y attache
J’ai gardé mon micro-ondes plus de 20 ans, jusqu’à ce qu’il implose ( avec un porridge dedans oups )
On vit dans l’époque du jetable, et pas uniquement du matériel, c’est tellement plus simple et expéditif de virer quelqu’un par texto ou d’employer le blocage intensif sur les réseaux , réduisant la durée des échanges humains au temps d’utilisation d’un kleenex…
C’est moche et super triste, mais puisqu’on répare et reconditionne de plus en plus les appareils afin de reculer leur obsolescence, ne pourrait-on pas s’en inspirer pour préserver , restaurer les liens entre les gens , plus durablement ?
( déjà faudrait reconditionner pas d’esprits étroits et méchants, ça serait génial, sans manquer de respect quiconque hein)
Bises Johann ( et courage pour les lessives, je vous conseille pas l’essorage à 1400 tours sauf si la mode déchiquetée c’est votre truc )
Plein d’ondes positives vers vous !!