Dans notre dernier épisode de “Faut que je vous raconte”, j’ai eu une expérience qui m’a fait réfléchir : comment un simple “non” peut changer le cours des choses. Nous avons tous été dans cette situation où, face à une pression subtile, nous finissons par accepter quelque chose que nous préférerions éviter.

Imaginez-vous avec un revolver dans la main, prêt à tirer. C’est exactement ce qui m’est arrivé avec Madame Girard, et non, je ne parle pas seulement de tir sportif. C’était une leçon sur l’art de dire non, sur l’importance de tracer ses propres limites, même face à une autorité bienveillante.

Le moniteur m’a tendu ce revolver, et bien que j’aie pensé à Clint Eastwood, ce n’était pas une scène de film. C’était réel. Et c’est là que j’ai compris que j’avais besoin d’apprendre à dire non, même aux suggestions les plus anodines.

Dire non, c’est parfois un acte de courage, un moyen de préserver son intégrité. Et vous, comment gérez-vous ces situations où le “non” pourrait être votre meilleur allié ?


2 réponses à “Est-ce que dire non est un super pouvoir caché ?”

  1. Avatar de Destrée

    Ah ! Vous revoilà ! Vacances terminées ? Les miennes aussi, en apothéose .. très boulever -sifiantes .. Un grand mal -mal pour un bien ! de grands maux qui ne peuvent se dire en mots : Du hard rock and roll . Nous attendons les vôtres .. de mots ! Bon retour vers nous ! Anne

  2. Avatar de Marie
    Marie

    Coucou Johann ,

    Bon eh bien après l’écoute de cet épisode,et même si je ris encore énormément , et bien je me sens un tout petit peu moins seule…!

    Malheureusement je n’ai pas de solution magique à comment poser des limites , à force d’expériences plus ou moins malheureuses ( la dernière c’était d’assurer le bénévolat au bar pour un concert de techno , entre les comportements inappropriés de certains spectateurs et les oreilles qui saignaient plus jamais hein) on va dire qu’on évite certains lieux et certaines personnes

    On vous l’a peut-être sorti aussi cette expression « trop bon(ne) trop c**n(ne) » ? , le pire c’est que personnellement j’arrive pas du tout à me raisonner, c’est tellement normal d’aider les autres, de les faire passer en priorité… quitte à ne plus savoir ce que moi-même aimerait faire ou aurait besoin.

    Et je dirais que c’est comme ça certainement qu’on arrive peu à peu à s’imposer, de peu à peu s’accorder un plus de temps personnel, sans perdre le lien à l’autre… fragile équilibre !

    Avec la culpabilité de ne pas se montrer assez disponible ( ce genre de pensées bien parasites, qui vous mortifie littéralement, parce que de suite on se dit qu’on devient super égoïste)
    Je sais que pour ma part c’est automatique, et j’oublie trop souvent que je suis fatiguée , ou que j’ai pas envie tout simplement aussi.

    Ce sujet il appuie sur quelque chose qui nous concerne tellement tous, j’espère que vous parvenez à prendre du temps et être gentil avec vous même, vous le méritez trop, surtout après tout ce temps à avoir écouté et soutenu les autres !!

    Plein de bonnes ondes en ce dimanche et à très bientôt Johann !

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