À partir de ce soir, et pour quelques semaines je vous propose une version estivale de « Juste avant la nuit ». Chaque mardi de l’été à 21h, à la place du direct, vous trouverez sur mon site et les plateformes de streaming un nouvel épisode de la libre antenne dans une version remaniée.
Dîtes-moi ce que vous en pensez. Ecrivez-moi : Social@johannroques.fr
En attendant, restez-au frais et prenez soin de vous.
Johann
2 commentaires
Odile · 2 juillet 2025 à 6h42
Bonjour, Excellente nouvelle que ce travail pour vous pendant l’été. J’essaierai d’écouter quand je serai réveillée à 5 heures du matin, comme vous le dîtes, c’est tôt! Le système de rediffusion, pas en direct, est très bien, cela nous permettra de retrouver des témoignages qui nous avaient touchés, et pour vous, de ne pas vous épuiser avec une nuit du mardi au mercredi très tronquée, vu que, pour être à Ici à 5 heures, vous devez vous lever bien avant. sans compter que vous avez votre émission très matinale à préparer dans la journée, et que, juste avant la nuit version normale, c’est aussi une grosse préparation (trouver les personnes qui vont témoigner, prendre contact avec elles, etc… ), tout cela vous épuiserait.
J’ai été très touchée par le témoignage d’une femme, dont je ne sais plus le nom, qui s’était retrouvée, à cause des aléas de la vie, sans domicile fixe, et avait réussi à s’en sortir. Mes souvenirs sont assez flous… La première nuit, elle s’était réfugiée à côté d’une église… sur le domaine d’un autre SDF. Vous verrez peut-être de qui je parle. J’aimerais beaucoup réécouter son témoignage, mes souvenirs en vont assez vagues, je me souviens juste que c’était une histoire pleine d’espoir.
Vivant aux Marches de la Bretagne, la canicule a moins sévi qu’à Paris, et, dès hier soir, les températures avaient bien chuté. Je vous envoie une bouffée d’air frais breton. Bonne journée.
ISabelle · 3 juillet 2025 à 19h59
Odile, le témoignage de cette femme, qui s’était retrouvée, à cause des aléas de la vie, sans domicile fixe, …..et qui s’était réfugiée dans une église… m’avait beaucoup touchée aussi ; il me semble qu’elle se prénommait ELISABETH, mais je ne suis pas certaine; elle s’en est sorti parfaitement ensuite, c’était fort et beau