Dans l’épisode 38 de la première saison de ‘Faut que je vous raconte’, Johann Roques explore les interactions humaines dans le métro. Imaginez ceci : une femme partage une expérience intime, révélant qu’elle entend parfois des voix et voit une silhouette fantomatique, qu’elle pense être sa grand-mère, traversant les murs de sa chambre la nuit. Quelle est la signification de cette apparition nocturne? L’interlocuteur, étonné, suggère de consulter un médium pour éclaircir le mystère.
C’est ce genre de conversations, parfois étranges, parfois touchantes, qui se déroulent dans le métro tous les jours. Ces trajets quotidiens sont bien plus que de simples déplacements d’un point A à un point B. Ils sont des fenêtres sur des vies anonymes, des histoires qui se croisent et se séparent à chaque arrêt.
C’est ce que Johann Roques nous rappelle : chaque personne que nous croisons a une histoire à raconter, une vie pleine de complexité et d’humanité. Les trajets en métro sont donc une occasion de se connecter à ces histoires, de se rappeler que nous ne sommes pas seuls dans nos expériences humaines.
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