Dans le dernier épisode de Faut que je vous raconte, Johann Roques nous plonge dans la vie de Marc, un sexagénaire originaire de Genève qui a choisi de faire de la rue son domicile. Marc, avec son accent traînant et ses airs de Mel Gibson, est un personnage atypique et attachant. Il passe ses nuits sur les marches d’un immeuble haussmannien, avec pour seul compagnon un poste de radio orné d’une petite étoile suisse.
Chaque soir, il déplie son duvet et ses cartons, s’installe confortablement et laisse la vie urbaine l’entourer. C’est un tableau qui peut paraître triste, mais c’est aussi une illustration de la diversité et de la richesse des vies qui se croisent dans nos quartiers urbains.
Avec Marc, Johann nous invite à réfléchir à l’importance des vies anonymes qui peuplent nos villes et à la façon dont elles façonnent notre expérience urbaine. Il nous rappelle que chaque personne a une histoire à raconter, et que ces histoires méritent d’être entendues.
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