Dans l’épisode 33 de la première saison de ‘Faut que je vous raconte’, Johann Roques explore le parcours de vie de Marie, une femme qui a combattu le cancer avec courage et détermination. Elle a partagé son combat sur les réseaux sociaux, donnant de ses nouvelles au compte-gouttes, jusqu’à l’annonce de sa victoire sur la maladie en mai dernier.
C’est un hommage à tous les anonymes qui mènent des combats silencieux, loin des projecteurs. C’est une réflexion sur l’importance des vies que nous considérons souvent comme ordinaires, mais qui sont en réalité extraordinaires dans leur résilience et leur courage.
Johann Roques nous invite à réfléchir à la manière dont nous valorisons les individus dans notre société. Est-ce que nous accordons assez d’importance aux vies anonymes? Est-ce que nous comprenons vraiment l’importance de leurs expériences et de leurs combats?
2 commentaires
Isabelle · 20 août 2024 à 16h39
Bonsoir Johann,
À tout bien réfléchir, je réalise que j’accorde de l’importance aux vies anonymes. Écouter les témoignages du soir sur France Bleue était ma manière de percer le sens de leurs existences et de leurs combats. Dans la nuit et dans l’obscurité de ma chambre, je prêtais une oreille attentive. Malheureusement, l’émission des mots du soir n’est plus. Ne reste que la concurrence sur d’autres radios sans charme et sans caractère.
Bien à vous,
Isabelle
Marie · 21 août 2024 à 13h23
Coucou Johann !
Il n’y a pas de hiérarchie dans l’importance des vies humaines , chacun ou chacune est essentiel(le), on a tous un truc super précieux en nous , notre personnalité !
Anonyme c’est pas grave , c’est tout aussi bien ( voire mieux ) que d’être mis en avant en permanence.
Les choses chouettes se font souvent sans bruit.
Et les expériences vécues , douloureuses ou non , personnelles ou non , sont légitimes , méritent l’écoute, le soutien et le respect !
Ben du coup ça vaut trop pour vous, c’est super résilient et empathique votre démarche ici , c’est vous tout simplement !
Soyez fier de ça !
Bises , prenez soin de vous !