Dans le nouvel épisode de ‘Faut que je vous raconte’, Johann Roques nous plonge au cœur de son confinement. Il nous raconte une histoire marquante, celle d’une rencontre imprévue et de la disparition d’un numéro de téléphone, le tout sous la menace d’un virus invisible.

Johann nous décrit comment, dans un moment de légèreté, il a presque oublié la pandémie qui sévissait. Mais le lendemain, la réalité l’a rattrapé de manière inattendue : le numéro de téléphone griffonné sur un ticket de concert, rendu illisible par une fiole de gel hydroalcoolique mal fermée.

Cet épisode nous rappelle que même en temps de crise, des moments d’humanité et de connexion peuvent surgir. Mais il nous rappelle aussi que la pandémie a changé notre quotidien de façon inimaginable.

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Johann Roques

On l'a connu provocateur sur Oüi FM. On le retrouve confident sur France Bleu. Johann Roques, devenu entre-temps le producteur du podcast Heure Indue, est de nouveau à la radio : tous les soirs, en direct, de 21h à 23h pour une libre antenne dénommée Les mots du soir, où il reçoit les témoignages d'auditeurs...

2 commentaires

Marie · 27 août 2024 à 20h43

Coucou Johann !

Même problème que vous avec le gel hydroalcoolique, mais pour des tickets de caisse , c’était pas trop grave…
( ceux qui me laissent leur numéro ce sont les démarcheurs de panneaux photovoltaïques, alors que j’ai vis en appart )

J’ai vécu les confinements seule en région parisienne puis à Nîmes, en me retrouvant même pour l’un d’eux complètement seule dans l’immeuble un bon mois ,ma proprio de l’époque ayant fui chez sa sœur ( sans prévenir sympa )

Comme beaucoup de gens j’ai flingué mon mini four avec toutes les recettes de pain glanées sur les internets , j’ai beaucoup lu ( même des notices d’utilisation d’électroménager) , écouté de musique , parlé aux murs et aux choucas ( c’est bof je recommande pas, ils croassent beaucoup trop )

Et puis j’ai bien pleuré aussi, je ne sais même plus de quoi, je crois que toute seule je me suis retrouvée face à moi même , et c’était un peu le gouffre , j’ai géré comme j’ai pu … des trucs très difficiles j’en ai déjà vécu dans une autre vie…et puis y’a tellement plus malheureux que soi, je suis sur mes deux jambes avec toute ma tête ( quoique ça je suis pas certaine) perso !

Le Covid a révélé tout le meilleur et tout le pire de l’être humain je trouve , en modifiant beaucoup les échanges entre nous ( bien trop virtuels à mon goût) , et la vie réelle ben …elle en a pris un sacré coup !
T’as littéralement l’impression de gagner au loto quand tu te fais des ami(e)s , qui t’aiment simplement comme tu es dans les bons comme les mauvais jours !

Mais ce que je retiens de cool de la pandémie pour ma part, c’est d’avoir renforcé le sentiment de me réjouir très facilement , pour plein de choses , et de vivre tout ça plus intensément ( bon après j’ai besoin de faire ma grosse aigrie de temps en temps hein, c’est important de râler quand on vieillit )

Je blague pas mal, mais après toute cette période super compliquée , j’ai jamais trouvé autant l’existence fragile , et donc très belle surtout dans ses instants les plus banals!

Bises Johann , prenez soin de vous !

Alicia · 5 septembre 2024 à 20h15

Bonsoir Johann,

Je viens d’écouter quelques-unes de vos histoires, elles sont agréables à écouter, on reconnaît bien la personne humaine que vous êtes. 🙂 Celle-ci d’histoire, je l’aime bien. Je l’aime bien parce que à la fin, la vie vous a envoyer un signe, comme un guide…
Et, la vie est belle.
Amicalement.
Alicia

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